Les femmes, victime du futur vaccin COVID ?

Publié le par Aspu

femme vaccin covid-19

femme vaccin covid-19

Les femmes, de la puberté jusqu’à la ménopause sont des Etres bizarres ! La santé et le bien-être du monde féminin garde une grande part d‘ombre. L’énigme neuro-hormonale féminine est loin d’être élucidée. Elle est même très peu étudiée. Sa spécificité est un véritable frein à son étude. Les fonctions hormonales liées principalement à la procréation sont si complexes !

Le principe de base de toutes études scientifiques doit suivre l’adage suivant : ….en dehors de tout autre facteur…. C’est pourquoi l’étude sérieuse du monde neuro-hormonal féminin est si complexe. En effet, le simple cycle des règles empêche d’appliquer ce principe. L’évolution neuro-hormonale du corps féminin permet peu l’analyse scientifique.

En principe, le corps féminin est fait pour accepter un « corps étranger »  au contraire du corps masculin. Cette spécificité permet de subtils aménagements immunitaires très mal compris par la biologie actuelle. La médecine constate les événements en acceptant les statistiques, sans plus. A travers ces statistiques, on comprendre que toutes la maladies auto-immunes frappent plus fortement le monde féminin. Il y a donc une équation complexe qui nous offre à réfléchir plus avant dans l’étude du monde du vivant. Il y a peut-être ici la trace de ce fiasco sanitaire que nous vivons actuellement à travers la pandémie de la COVID-19.

Il faut admettre que l’histoire de l’art médical a été écrite, depuis quelque 200 ans, par un  monde plutôt masculin. Les facultés de médecines ont été conçues par des hommes et pour des hommes. Les femmes ne peuvent pas s’y intégrer sans « oublier » une partie d’elle-même. Il serait bon de repenser le fonctionnement et le contenu de ces facultés historiquement sexuées. Comprendre la psychologie féminine ou prendre en compte le désir de grossesse ne fait pas partie de l’enseignement des médecins. C’est pourtant bien en étudiant le phénomène d’aménorrhée chez les américaines pendant que leurs maris étaient en Europe pour combattre que le Pr. Roger Guillemin  ( https://www.petitions.fr/reconnaissance_pour_un_prix_nobeldijonnais_pr_roger_guillemin ) découvrit les interactions entre le corps et l’esprit. C’est en découvrant les neuro-hormones qu’il a compris les phénomènes liés aux stress. C’est aussi à partir de là, que la psychologie a commencer à sortir du seul champ des analystes tel que psychiatres, psychologues, … etc…

De nombreux travaux ont démontré que la psychologie masculine représente environ 10% de la complexité de celle du monde féminine. On devrait donc centrer toutes les études sur la santé féminine, hors nous observons l’inverse. La complexité neuro-hormonale féminine ne se laisse pas découvrir facilement. Le comportement du monde féminin dans notre société plutôt machiste reste, à ce jour une énigme pour la science. L’évolution de la personnalité féminine est liée à cette fonction de procréation. Son intime est lié à cette danse neuro-hormonale tout au long de sa vie. Faut-il l’accepter ? Il faudrait surtout mieux l’intégrer … Même si l’horloge hormonale est trop dérangeante pour être prise en compte par l’idéologie de notre monde moderne. Alors que tout le monde semble l’ignoré on comprend ici que la médecine n’est pas une science. Pour une simple raison, par ses fondements : elle ne peut pas l’être et par ses agissements, elle ne l’est pas. La crise de la COVID-19 le démontre !

Dans ce contexte et d’après la littérature « scientifique » nous savons que les cancers sont toujours plus problématiques chez la femme que chez l’homme tout comme les maladies auto-immunes. La simple migraine, par exemple, c’est 9 femmes pour 1 homme. Ceci pose le problème de la médication. Pour des raisons économiques et de sécurité sanitaire, la grande majorité des médicaments sont testés que sur des hommes, considérés comme plus stable neuro-hormonalement parlant. Chaque fois que vous prenez un médicament de moins de 30 ans, il est testé quasi exclusivement sur l’homme. Les effets secondaires seront du coup, relatifs au monde masculin. Ceux des femmes ne seront identifiées que plus tard !…Eventuellement ! ….

Dans les faits, ils seront référencés par le système de pharmaco-vigilance au bout de nombreuses années. Inutile de dire que la prise de conscience d’effets secondaires, même forts, seront liés à une prise en charge hasardeuse. Là, interviendra évidement la constante psychologique propre au monde féminin. Et lorsqu’on connait cette constance par la Psycho.Neuro.Endocrino.Immunologie, il faut bien admettre que cette variable est fort importante. Admettons aussi que le médecin peut très probablement ignorer ces symptômes complexifiant la compréhension de la maladie ou à l’inverse des effets secondaires due à une médication hasardeuse.

La médecine moderne plutôt centrée sur l’homme est donc un véritable piège pour le monde féminin. Ce piège est, de plus, amplifié par notre histoire culturelle. Si l’homme ne doit pas pleurer, la femme qu’en a elle ne doit pas se plaindre. Dans les pays catholiques elle est « La » coupable. Cette vision paternaliste et sexiste construite depuis de si nombreuses années ne permet pas à la psychologie féminine de prendre sa place dans notre monde socio-économique actuel. Ceci constaté, on peut admettre que les dires de ces Dames dans le cabinet du docteur à propos des effets secondaires, ne soient pas véritablement pris en compte.

Ce qui pourrait être encourageant dans ce contexte , c’est la grande facilité de communication grâce à nos outils numériques. Mais là, intervient un problème encore plus complexe : comment dénouer le véritable noeud des effets secondaires, des stratagèmes, des mensonges, des illusions, … etc…

Le panel de la complexité psychologique féminine mélangé à ce noeud est donc assez inextricable. Là, interviendra la difficile interprétation des effets placebo mélangés aux nocébo. Il nous faut donc raison garder en terme de médecine et de sociologie dans cette pandémie qui touche le monde entier d’après les instances sanitaire comme l’OMS.

A l’heure ou on nous propose des vaccins contre la COVID-19, nous sommes ici en droit de nous poser la question sur la fiabilité d’une vaccination à grande échelle. Comment les effets secondaires inéluctables d’un vaccin tout juste sorti des laboratoires sont estimées ?

Qui plus est, à l’heure ou on nous constate que les françaises et les français subissent une hausse des syndromes dépressifs dans tous les profils socio-démographiques, due à la gestion catastrophique de la crise pandémique. On observe une augmentation globale et significative depuis quels mois des états anxieux, des dépressions, des suicides, des actes de violence envers les femmes et les enfants. La santé mentales inquiète  nos autorités sanitaires. Ceci démontre s’il le fallait encore, l’incompétence de ceux qui nous gouvernent. Si les principes de la P.N.E.I. étaient intégrées les phénomènes anxiogènes auraient pu être anticipés. Mais voilà nos capitaines pilotent un navire trop gros pour eux. N’est pas capitaine qui veut !…

Nous comprenons ici que proposer, voir imposer une vaccination comme dans certains pays, dans ce cadre très insécurisant médicalement parlant n’est qu’une vaste escroquerie.

Qui en seront les premières victimes : les femmes à n’en pas douter !

Ceci étant, il faut mettre ici en exergue, les aveux choquant de l’éditeur de The Lancet, la revue médicale la plus estimée au monde. Ceci jusqu’au fiasco de l’hydrochloroquine bien-sûr. Le Dr Richard Horton, rédacteur en chef, a fait une déclaration en 2015 disant : qu’un nombre scandaleux de publications d’études sont au mieux, peu fiables, quand elles ne sont pas complètement mensongères, en plus de frauduleuses. On apprend qu’une grande partie des publications (on parle ici de la moitié), sont fausses ! Entre conflits d’intérêts, études biaisées et mensonges, la médecine a pris le chemin des ténèbres. La corruption dans le monde médical est un énorme problème qui doit nous interpeller au plus haut degré surtout avec la COVID-19.

Cette période de psychose collective que nous traversons ressemble de plus en plus à une opération d’ingénierie sociale. Aurait-elle pour but : une perte de rationalité critique ? Devant ce constat que je vous livre ici : le monde médical est un fiasco pour au moins 40% de la population, les femmes de la puberté à la ménopause ! Dans ces conditions, le monde médical est dans l’incapacité absolue de gérer les effets d’une vaccination à grande échelle. Nous avons à faire à des speudo-médecins ou à des médecins résistants, suivant qu’ils aient suivit les prescriptions du Pr. Raoult. Mais l’un comme l’autre n’ont assez d’ouverture d’esprit pour accepter la limite opérante de ce que certains voudraient qu’il exista bien un « art médical » à défaut d’une science de la médecine.

Alors à l’heure ou on nous annonce que plus de 45 fabricants de vaccin contre la COVID-19 se battent pour gagner le gros lot économique, n’y-a-t-il pas de quoi être perplexe…Nos gouvernements, tout comme les structures économiques de la santé publique, parlent de profits, de brevets, de mise sur le marché. Tous oublient le partage de technologie libre. Tous oublient l’esprit de coopération. Les vaccins sont un prétexte à l’enrichissement, à l’état d’urgence. Le principe de précaution a fait son chemin ! …

Nous savons que c’est à partir du postulat qu'un virus "se transmet" sans évoquer la puissance immunitaire individuelle et que le médecin « moderne » cherche à ‘’soigner’’ son patient. Il cherche à attaquer l’intrus !. Depuis Pasteur, il est acquis que n'importe quel agent infectieux est " dangereux », du coup on oublie de mentionner le système immunitaire. Il faut savoir qu’à ce jour, aucune étude a démontré la contagiosité d'un virus sur des personnes saines. On n'attrape pas un virus ou une bactérie, on lui permet de se développer. Le dogme pasteurien n'a jamais été remis en cause par la pseudo-science médicale. Il serait bon qu’on s’intéressa au développement des infections IN VIVO plutôt que dans des laboratoires pour ensuite publier dans des revues à comité de lecture : le Saint-Graal du mensonge !!! Dans nos sociétés modernes, absolument tout fonctionne sur la notion d'ennemi et d’agent délétère extérieur. Pourtant il existe d’autre voix, celle des thérapeutes alternatifs bien vivants eux. Ils s’égosillent à proposer des conceptions du vivant plus réalistes, mais l’Académie se méfie et se défend par l’attaque. Là encore le concept de l’ennemi gangrène.

Ce que le public ignore, lui qui fait un peu naïvement confiance aux spécialistes « scientifiques », c’est que la recherche médicale est en crise systémique depuis bien longtemps au mensonge. L’article de Ioannidis (« Why Most Published Research Findings Are False ») fit l’effet d’une bombe :

« Quelque chose est pourri dans l'état de la recherche biomédicale. Tous ceux qui travaillent dans ce domaine le savent à un certain niveau. Nous applaudissons les présentations de nos collègues lors de conférences, en espérant qu'ils nous feront preuve de la même courtoisie, mais nous savons dans notre cœur que la majorité, voire la grande majorité de nos affirmations en matière de recherche sont fausses.  Avec la biomédecine, on est en quelque sorte dans le cas de figure d’être priés d’accorder notre confiance à une compagnie d’aviation dont l’affirmation de sa compétence à faire voler un avion d’un aéroport A à un aéroport B se vérifiait dans entre 15% et au mieux 30% des cas ?  Vous trouveriez ça choquant ?! Et refuseriez peut-être de monter à bord ? Bienvenue dans l’univers compliqué de la médecine prétendument « scientifique ». La plupart des études scientifiques sont erronées, et elles le sont parce que les scientifiques s'intéressent plus aux financements et à leurs carrières plutôt qu'à la vérité. Merci l’Académie !!! Dernièrement un article cité par le Pr. Raoult montre que le degré de politisation de la gestion de la COVID-19 n’avait jamais été aussi haut. Les niveaux de corruptions et de conflit d’intérêts à tous les niveaux sont un véritable fléau. La pantomime médicale-scientifique amuse le monde incrédule.

La médecine fondée sur les preuves annoncée au début des années 1990 comme un "nouveau paradigme" pour améliorer les soins aux patients, n’y a rien changé. Elle a loupé son objectif. L’amour du « significatif » pollue la littérature avec des contes de fées statistiques et l’argent fait le reste. Un constat dur, je l’admets, mais soyons honnête. Il existe un phénomène de "corruption systémique", une entreprise de manipulation généralisée sur fond d’Etat-profond.… Il permet de ne pas avoir besoin de soudoyer un grand nombre de personnes. La manipulation globale permet que des foules d'acteurs de bonne foi y participent en toute ignorance.

Le constat est triste mais implacable. Pour paraphraser le chanteur Renaud, qui a chanté en l’an 2000 dans son style alors inimitable « la médecine est une putain, son maquereau c’est le pharmacien ».

Autre constat concernant l’éventuel vaccination. "On va vacciner en priorité les personnes qui sont les plus à risque de faire des complications, pour lesquelles, on peut accepter qu'il y ait des effets indésirables » annonce Odile Launay, infectiologue & membre du comité vaccin COVID français. Comprenons ici que nous sommes bien dans une expérimentation « grandeur nature ». Cette pseudo-pandémie vaut-elle un vaccin fait à la « va-vite » expérimenté sur des innocents fragilisés ? Les actions et la philosophie des pensées mesquines révèlent partout la même mentalité. Nos intellectuels au pouvoir, bardés de diplômes académiques sont sous le joug du capitalisme mercantile. Leur néo-cortex les dispense de l’empathie nécessaire à un savoir-être humaniste. Il est vrai que de parler de maladie entraine une vie passionnante pour une pseudo-médecine et en plus ça remplit les poches de matière sonnante et trébuchante.

Notre Président, son Premier ministre et le Gouvernement ont clairement indiqué l’arrivée du vaccin comme la seule issue à la pandémie, comme si c’était le seul et unique recours.  Les « chiens de grades » présents sur tous les supports de communication officielle assènent à qui mieux mieux, leur croyance en cette potion magique d’un vaccin qui plus est, à ARNmessagé ! C’est machiavélique. Il s’agit plus d’une « modification génétique » plutôt qu’une « vaccination à la pasteur ». Quid des effets secondaires ou même des effets primaires mal contrôlés sur plusieurs mois ou plusieurs années, voir plusieurs générations. Comment se prononcer dans la précipitation qui nous gouverne actuellement ? N’en doutons pas : il y a urgence à exercer notre esprit critique personnel. Reste encore la question de fond : celle de la souveraineté de chaque individu à disposer de lui-même.

Notre médecine a une telle aura dans le public, par les temps qui courent, que j’entends déjà les réactions incrédules que provoquera la lecture de cet article. Il y a un attachement à nos soignants référencés par l’Académie. Des personnes dans leur immense majorité intègres et scrupuleuses se sentent rassurées du pouvoir technologique de la médecine contemporaine. Mais elles oublient de regarder ailleurs, elles oublient surtout d’exercer leur esprit critique, seul source d’une saine analyse.

Mais ici je sais qu’« Un peuple qui élit des corrompus, des renégats, des imposteurs, des voleurs et des traîtres n'est pas victime, il est complice. » disait George Orwell (1903-1950). Là, je m’accroche à croire à la conscience populaire. Je crois à son Intime Conviction issue des limbes des volutes de son cerveau comme de celles de ses viscères.  Nous serons courageux devant l’absurdité des vaux inféodés à la bête mercantile.

Succomberez-vous Madame, à la double peine celui du mensonge, et celle de l’incompréhension de votre propre biologie ? Serez-vous cobaye par idéologie ou par peur ?

Alors Madame, allez-vous courir à la vaccination contre la COVID-19, sinon allez-y en toute conscience….

« Prenons garde de ne pas nous précipiter vers une solution hypothétiquement idéale qui s’avèrerait à terme une catastrophe sanitaire »

Lecteurs sachant lire je vous salue ! 

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article