Cancer et co-médecine = l'avenir

Publié le par Aspu

Georges Lakowsky, la machine
Georges Lakowsky, la machine

L’institut Curie admet que de nombreux Français se tournent vers les approches complémentaires pour traiter leur cancer. D’après l’étude Baromètre Cancer réalisé par Viavoice pour l’Institut Curie, ils sont 72% à penser que le cancer n’est pas seulement une affaire de médecine allopathie. Dans une grande majorité, l’hypnose, les massages, les techniques de relaxation, les arts martiaux, l’activité physique, la méditation, le magnétisme…doivent accompagner les traitements médicaux classiques. Ce mode de pensée a évolue de quelque 10% entre 2013 et 2014, on peut donc dire qu’il y a un véritable mouvement de méfiance envers le monde médical. L’engouement pour les pratiques alternatives sont plébiscitées majoritairement par les femmes plutôt jeunes. Nous assistons vraisemblablement à un véritable retournement de situation. En effet, jusqu’ici les discours des naturopathes et autres praticiens alternatifs n’avaient que des échos en marge d’une société en proie aux seules valeurs du consumérisme. Maintenant il en va tout autrement. Les chiffres annoncé par l’Institut Curis éclairent une belle révolution culturelle et cultuelle. Rien ne va plus chez les pontes politico-médiatico et médico-hystériques. La notion de médecine complémentaire ou parallèle doit laisser la place à la « co-médecine », notion que j’ai transcrite dans mon livre sur la SEP. http://www.amazon.fr/Scl%C3%A9rose-En-Plaques-maladie-sentinelle/dp/2703309872

Bien sûr les femmes sont plus nombreuse à plébisciter les approches psychocorporelles mais il faut noter que les jeunes générations sont plus enclin à juger ces pratiques comme importantes. Il y a fort à parier que dans les années futures, ce mouvement s’accélèrera imposera enfin ce que certains voudraient qualifier de charlatanisme. L’empirisme prendra alors ça véritable place à côté d’une science enfin raisonnable.

Patientelle pro-active :

Les patients atteints d’un cancer ont des ressources insoupçonnées. C’est pourquoi ce n‘est plus seulement « je consomme un médicament et j’attends que ça se passe » pour nombre d’entres-eux. Là, c’est « je prends en compte les symptômes, j’apprends à les gérer par moi-même avec des techniques que je m’approprie. » Cette démarche permet aussi aux patients d’exercer sa capacité de critique envers lui-même et les autres. Une remise en question propice à une meilleur image de Soi permet alors de dynamiser Ses propres ressources de guérison. Les patients ne veulent plus être des numéros ou des « tubes à essais » encore moins des outils de statisticiens. La co-médecine doit impérativement prendre SA place dans le chemin thérapeutique du malade cancéreux mais pas seulement. La pratique du yoga, de la méditation, de l’art-thérapie, de l’olfactothérapie, les massages thérapeutiques comme de l’écriture ou encore la philosophie doivent franchir les portes de nos hôpitaux. Les ressources vitales des patients n’en seront que bien meilleures. Il existe déjà de nombreuses preuves de l’utilisation de cette co-médecine, elles sont allègrement enfouies dans les statistiques de la médecine allopathique. En effet, ne connaissez-vous pas vous-même quelles rémissions spectaculaires dans le cas de cancers autour de vous? Mais elles sont presque invariablement attribuées au monde de l’allopathie puisque le patient s’est bien trop souvent gardé de parler de ses pratiques d’un autre temps comme le magnétisme ou le jeune ou encore de l’hypnose. Ainsi on déshabille Pierre pour habiller Paul. Ni vu, ni connut, j’t’embrouille ! ! !

Des efforts

L’Institut Curie, mais pas seulement, semble donner l’exemple puisque plus d’une dizaine de médecins et soignants peuvent par exemple proposer une prise en charge par l’hypnose. Mais il s’agira toujours de proposer une aide transitoire. Seules les thérapies psychocorporelles sont utilisées pour atténuer les souffrances physiques et psychologiques. Rien n’est fait en relation avec des pratiques comme la phytothérapie, l’aromathérapie, ou l’utilisation du miel. En fait, tout ce passe comme si le monde médical voulait se donner bonne conscience en saupoudrant leurs pratiques allopathiques par d'autres pratiques. Car la question est posée: peuvent-ils refuser encore longtemps les articles qui paraissent presque chaque semaine dans la presse grand public? Alors sous ces coups de boutoirs les pontes de l’allopathie cèdent un peu de terrain. C’est peut-être aussi pour mieux informer la MIVILUDE http://aspu.over-blog.com/article-miviludes-suite-89459726.html qui sait !….

En tout état de cause les principes émis par la CST http://aspu.over-blog.com/tag/cellsymbiosistherapie/ ou encore par la Bio-électronique de Vincent sont largement critiqué au mépris de trop nombreux malades à qui on parle de patience. Mais le piège se referme inexorablement sur les obscures formules chimico-économiques mises au point après 1945. C’est vers un nouveau paradigme que nous devons tous nous tourner puisque la stratégie actuelles du BIP est mise en cause directement par le dérèglement climatique comme le financement des systèmes de santé public. Inutile de croire à une rémission par quelque pillule que ce soit.

Mais il n'y a rien de bien nouveau puisque George Lakowski avait déjà en 1928 perturbé le monde de la santé en affirmant que le monde des ondes pouvait permettre un mieux-être et même guérir des pathologies lourdes.

Lecteur sachant lire, je vous salue.

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