Bonne Année !

Publié le par Aspu

Bonne Année !

 

Pour cette année 2022 que nous souhaiter de mieux ? Sinon une prise de conscience des erreurs récurrentes d’un passé chargé de misères, de pauvretés, de conflits et même de désespoirs.

 

Bien sûr, il y a cette fameuse pandémie qui nous tient quand même depuis plus de 1,5 an mais ne s’agit-il vraiment que de cela ?

 

S’il s’agissait de faire « société » et seulement ça ? Ne serait-ce pas notre planche de salut ?

 

S'il s'agit de ça alors profitons de ce changement d’année pour s’impliquer dans des changements plus humanistes pour être en relation avec une vision plus socialisante de nos vies individuelles et collectives.

 

Changer d’heure, changer de jour, changer de semaine, changer de mois, et changer d’année, tous ces changements ne sont-ils pas la source d’une renaissance, d’une résurrection ?

 

Vous allez sûrement faire une petite fête pour arroser le passage à cette nouvelle année qui s’annonce. Alors n’est il pas temps de changer, de nous changer, et d’échanger ? Il y a comme une re-naissance à chaque changement. N’hésitons pas à changer pour re-naitre, n’hésitons pas à abandonner, à oublier, à perdre pour s’orienter et se découvrir autrement.

 

Ici et maintenant, dans une certaine joie pleine d’espoir, je voudrais vous annoncer tout le meilleur pour vous et les vôtres, Et je suis sûr que toutes et tous ne souhaitons que de sortir de ce piège qui se referme presque chaque jour un peu plus sous des prétextes sanitairo-politico-économiques.  Nous nous sentons embourbés dans une toile brûlante d’un avenir plus qu’incertain. A coup de règlements, de décrets et de lois, nous nous sommes laissés enfermer sans modération dans un monde de peur, de délation, de corporatisme. Mais je vous assure rien n’est définitivement perdu.

 

Osez regarder l'œil de votre partenaire, celui de votre voisin et même celui ou celle que vous allez croiser dans la rue. Cet inconnu pourrait être ce sauveur à venir. Car chacun de nous à cette puissance interne du changement. Chacun d'entre nous a sa part du changement en lui. Chacun a, à son insu, cette puissance de créer chaque heure, chaque jour, chaque semaine, chaque mois et chaque année. Il faut oser tout simplement oser en acceptant ce rôle en toute simplicité. 

 

Pour qu’enfin ces moments de vœux ne sonnent pas creux, ne serait-il pas le bon moment pour changer simplement. Changer au rythme d’une musique, au rythme d’un pas, au rythme d’un sourire, au rythme d’une rencontre. Pourquoi pas après tout…

 

Se changer, nous changer, n’est pas seulement un concept d’une futile addition d’années coincé entre une fin et un début ? C’est un empilage réactionnel. Bref, il y a du changement chez chacun d'entre nous !  

 

Le verbiage du changement d’année, nous offre cette puissante réflexion sur nous-même avec des espoirs, des vides et des creux comme le fait une musique. Il faut compter sur les vides pour écouter le rythme d’une jolie musique. Il faut se confronter aux vides pour conceptualiser des variations temporelles. Il faut se lâcher dans le vide pour faire des rencontres et faire des connections, synonymes de loyauté envers l’humanité. Car la rencontre de l’autre et des autres offre le changement. Réunissons nous alors à la veillée pour propulser ce changement d’année, ce changement de point de vue. Comment trouver le Graal de notre société sans se réunir ?

 

En gardant de ce verbiage quelques mots mignons mais vides de sens, nous nous offrons le possible changement sans même nous en rendre compte. Nous créons des creux et des bosses et laissons apparaître toute une série de vides. C’est alors par notre puissance viscérale que nous remplirons ces vides. Pour les uns ce serait tout en douceur, alors que pour les autres il y aura de la brutalité et de la violence. Il y aura du bruit. Mais l’un et l’autre formeront le changement. Et c’est bien là l’essentiel car pour faire vivre le changement, il faudra du mouvement d' humeur et de la fulgurante aussi. 

 

Changer, rechanger et encore changer, voilà une belle feuille de route pour 2022 et pour s’imprégner d’une probable humilité eu égard à notre histoire contemporaine. Pour ce changement, propulsons-nous dans ce vide à travers les notes sucrées d’une pâtisserie, d’un morceau de musique, d’une douce caresse, d’un souffle léger et même d’un peu de mélancolie.  

 

Mettons-nous à l’ouvrage pour éviter l’échec d’une humanité sans spiritualité. Évitons les corvées argenteuses et soulageons nos esprits par des fluides spiritualisants. La science nous a poussé dans nos retranchements biologiques à force de chercher des voies sclérosantes.

 

La science, dopée par nos cerveaux peureux, nous a jusqu’ici, envoûtés dans des changements en rapport à le matérialisme. Voler n'est plus qu’un espoir. Le mythe d’ICARE, symbole du désir de l’homme d’aller toujours plus haut, plus loin au risque de devoir finalement reconnaître sa condition de simple humain, se contredit ici et maintenant dans nos vies de tous les jours. Nous nous observons comme des transhumains, au risque de nous faire dépasser par l’Intelligence Artificielle. Mais est-ce que l’IA a un sens en qualité de fluide spirituel ? 

 

Changeons donc de point de vue quant à notre propre existence. Osons ce changement de paradigme que semble nous imposer cette pseudo-pandémie. Découvrons-nous sans le revers d’une peur certifiante au point de nous faire croire seulement à la sécurité matérielle. 

 

2021 nous  laisse un goût amer de complotisme, de croyances en une science invalidante proche de la magie. Difficile de continuer dans cette voie sans s’écraser comme un Icare. La dépendance issue de la peur que représente notre histoire, doit nous interpeller au plus profond de nous-même sans que nous puissions être malveillant envers nous-même. 

 

La phrase que nous laisse 2021 est sûrement « je n’ai pas eu le choix ». Il est donc, dès l’instant, temps de réfléchir à ce que pourrait être celle de 2022 ? 

 

Imaginons pour notre bien-être que la nature c’est nous, tout comme les abeilles, les requins, le brin d’herbe et même les maladies virales ou bactériennes. Bref, on vit tout simplement de biodiversité ! Bref sachons lâcher prise pour accepter que c’est notre biodiversité. Mais il nous faut une « certification » pour la construire et faire de l’acrobatie entre nos petites imaginations. Car ne nous reste-il pas que cela ?      

 

Pour certains c’est une évidence, mais pour d’autres, entrevoir en nous l’image d’une réalité entre un homo sapiens et un homo cannibalus est insupportable. Pour trop peu, l’insupportable est peut-être plus du côté des partisans des intérêts financiers ou du mythes de la captation commerciale sans limite et surtout sans débat de fond. 

 

Il y a comme une charnière aujourd’hui. D’aucuns parlent d’énergie, d’autres parlent de culte, et d’autres encore s’imaginent en une sorte de Dieu. Entre grand retournement et sacre d’un féminisme vénérable, nous sommes tous coincés dans une terrible histoire. Crispations et autres sectes deviennent comme des « révélations ». L'intuition et autres pièges, qu’on décrit comme subtils pour croire en des divinités, sont prêtes à sauver, prêtes à une sorte de gestation infantilisante. La maturité n’est pas un cadeau, elle se construit sur un terreau pauvre et aride. L’inconscient en conscience reste de mise pour relire notre histoire personnelle et collective.  

 

C’est bien dans cette trilogie, coincé entre le changement, l’illusion d’un subtil et une non-science que navigue notre chère planète. C’est là que l'humanité se trouve devant un choix brutal. Le changement se situe au-delà du contenu de notre mental, au-delà de nos pensées et de nos réflexions. En fait, c’est au cœur d’une nouvelle conscience que se trouve la transcendance de la pensée. L’habileté de s’élever au-dessus de la pensée et de se réaliser en une dimension du Soi sont infiniment plus vaste que la pensée et la technologie.

 

Il y a un dilemme entre provoquer un changement par le vide pour évoluer et s’abandonner à une sorte de mort programmable. Si le dysfonctionnement neuro-hormonal de l’homo sapiens est connu depuis l’antiquité, il est maintenant amplifié par la science et la technologie au point de mettre en cause la survie de l’homme et même de la planète. 

 

Ce que nous voyons émerger dans le contexte de pandémie, c’est un nouveau système de croyances, une sorte de religion du matérialisme à tout crin. C’est l’erreur fondamentale de l’homo cannibalus. Il est prêt à tout et n’importe quoi pour assouvir ses désirs futiles. Plaire à tout prix a un prix. Ainsi la mise à prix de la planète est engagée.

 

Pour conclure, laissons les "Ykafokon" amoureux des plateaux télé et autres incrédules. Osons agir par notre Soi intérieur jusqu'à ce chambardement pour enfin quitter ce galimatias que nous propose cette société peureuse. Je vous souhaite comme à moi-même de toucher enfin ce Graal durant 2022. 

 

bon réveillon et 

bonne année 2022

 

Bonne année à vous lecteur et lectrice sachant lire ... 

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R
¡Fantastic post!
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A
Je vous remercie pour ce compliment qui me va droit au coeur et j 'en profite pour vous présenter personnellement mes meilleurs voeux pour cette année 2022 ..